19 avril 2018

2018 Pâques : Alpes du Sud Express

Fin avril, c'est l'été ! Vite les sacoches, un petit tour dans les Alpes du Sud, sur ces routes tellement belles. Bien sûr avec un kilométrage déraisonnable. Les nuits peuvent être encore glaciales, alors ce sera avec le vélo-sacoches, pour pouvoir emporter le gros duvet bien chaud, et un double-toit de tente.
 

 

 Jour 1 : Grenoble Orpierre par le Trièves, le Dévoluy... Départ à 5 heures pour tenter d'arriver avant 20 heures, heure fatidique à laquelle le jour s'en va et où la recherche d'un bivouac devient difficile. Arrivé pile poil à l'heure prévue. Passant devant le camping des Catoyes que je connais, je décide d'en rester là.



Dès le départ de Grenoble, les paysages sont magnifiques.

Reverrons-nous un jour des trains circuler sur cette voie Grenoble-Gap ? Officiellement fermée pour cause de travaux, on peut légitimement en douter...


l'Obiou


Pas mal de mécanique ce premier jour... Ici ré-indexation des vitesses





entre Veynes et Barcillonette



vallée de la Durance



Jour 2 : Réveil à 5 heures. Le double-toit sous lequel j'ai dormi ruisselle à l'intérieur. Le duvet est moite. Comme tout le reste. 6 cols au programme, dont le dernier, le col de la Chaudière, grimpé avec l'incertitude d'arriver avant la nuit tombée à Saillans. Pari réussi. Mais il était un peu tard, je n'ai pas pu être exigeant pour le lieu de bivouac... un peu visible, un peu en pente... j'ai bien dormi quand même.



montée du col St-Jean, pour basculer dans la vallée de la Méouge et Séderon




Ventoux

Montbrun-les-Bains

Brantes


opération "séchage général" après Buis-les-Baronnies


défilé de 30 pas


montée du col de la Chaudière





Jour 3 : lever 5 heures. Direction un tout petit col, le col de la Croix. Un gros détour et beaucoup de dénivelé supplémentaire, mais cela valait le coup ! Puis remontée plein Sud vers Léoncel et Saint-Jean-en-Royans, la vallée de l'Isère et la voie verte comme d'habitude.







Léoncel



vélo-route 63. Pas si mal.

Début de la voie verte vers Grenoble

On aura connu pire pour arriver dans une grande ville.



Et pour finir l'allure générale du parcours :